Données de juillet 2017
Cédric VARRAULT |
Né le 30/01/1980 | A Blois | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Taille: 1,82 m | Poids: 70 kg | Nationalité: Français | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Poste Latéral gauche ou droit |
Au club
depuis: 9 juillet 2007 (Contrat de 3 ans ) Premier match en L1: Nice-Le Havre (03/08/02) Clubs précédents: Menton, Nice Palmarès: Finaliste de la Coupe de la Ligue 2006 avec Nice Nombre de matches en L1: 295 Buts: 9 Sélections : Quitte l'ASSE en juin 2010 (fin de contrat) et signe au Panionios d'Athènes le 20 août 2010 |
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Après ses débuts à l'US Amical
Saint Just, puis au Rapid deMenton, ce
Castellarois de cœur a rejoint Nice à 19 ans, en 1999. Présent
quand Nice était en Ligue 2, il participe à la montée en Ligue 1 de
2002. Fidèle à son poste de défenseur de l'OGCN, il est connu pour
ses montées dans son couloir, son crochet droit, puis ses passes en
retrait.
Titulaire incontestable, avec une moyenne de 34 matchs par saison, ainsi que 4 buts inscrits en Ligue 1 : un en 2002, un en 2003 et le dernier en date en septembre 2006. Droitier, Cédric Varrault a dû apprendre à jouer sur le coté gauche pour pallier le départ de Noé Pamarot en 2004. On note aussi une spécialité maîtrisée dans son jeu : le tacle à deux pieds. Contacté par le FC Nantes en 2005, puis le Paris SG et Marseille au mercato estival, pour ses qualités défensives, il est aujourd'hui un des rares joueurs capables de jouer aussi bien sur les deux couloirs du terrain. Autant adulé que critiqué, Cédric Varrault reste à l'heure actuel une des valeurs sures des bons joueurs de notre championnat. Capitaine de l'équipe de Nice depuis 2005, il a su emmener son équipe jusqu'en finale de la Coupe de la Ligue, le 22 avril 2006. En juin 2010, son contrat n'est
pas renouvelé et après des essais dans divers clubs, notamment en
Turquie, il signe dans le club grec du Panionios d'Athènes (où a
joué Fousseni Diawara).
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Les souvenirs de Cédric Varrault (Source : Poteaux Carrés, décembre 2015)
Repositionné défenseur central au DFCO, le capitaine dijonnais est revenu sur ses vertes années dans un entretien paru sur le site de So Foot.
"Sainté, j'y suis resté trois ans. Il y a eu des moments plus durs, mais beaucoup plus de positif dans l'ensemble. J'avais joué l'Europe aussi, pour la première fois depuis l'épopée des Verts. Geoffroy-Guichard à guichets fermés, c'était beau. J'ai toujours recherché cet engouement, ces ambiances-là. Quand ça se passe bien, tu vis des choses tellement positives. Quand on se sauve à la dernière journée avec les Verts, les derniers mois ont été délicats à gérer. Mais ça débouche toujours sur de nouvelles choses positives.
Les mecs pour qui je garde une affection particulière ou une grosse impression sur le plan foot ? je vais citer évidemment Loïc Perrin, qui mériterait plus que ce qu'il a actuellement, même s'il a déjà fait beaucoup. Blaise Matuidi aussi, qui était jeune, mais déjà prometteur, donc là encore, je ne suis pas surpris de le voir réaliser ce qu'il fait actuellement. Je m'entendais bien aussi avec de bons manieurs de ballon comme Dimitri Payet ou Pascal Feindouno, un des meilleurs, vraiment. Je n'oublie pas Bafé Gomis. Il y en a plein en fait..."
Cédric Varrault
revient sur son expérience stéphanoise (Source : Poteaux Carrés, juillet 2016)
Certains se souviennent sans doute que de tous les latéraux, c’est bien lui
le plus beau. Les années passent, mais la carrière de Cédric Varrault
ne trépasse pas : on le reverra probablement à la mi-octobre dans le Chaudron,
avec le brassard d’un chouette club bourguignon autour du bras. Interrogé
par So Foot, l’ex-Vert évoque tout un tas de choses, à commencer par son
retour en L1. Extraits choisis :
" Je suis content de retrouver la Ligue
1, je reste un compétiteur, j’ai envie de voir jusqu’où je peux aller
malgré l’âge qui avance (rires). Je suis pressé de découvrir les nouveaux
stades qui ont vu le jour pour l’Euro. L’ambiance en Ligue 1, c’est autre
chose. J’ai aussi envie de retrouver les anciennes équipes où j’ai évolué,
que ce soit Nice ou Saint-Étienne, et aussi mes anciens adversaires ou coéquipiers.
L’expérience à Saint-Étienne m’a plu, malgré quelques moments plus
difficiles. J’ai vécu de belles choses pendant trois ans. J’aurais pu
rester une année de plus, mais j’avais vraiment envie de vivre une expérience
à l’étranger et je suis parti en Grèce. C'était l’année où pas mal de
Français commençaient à partir là-bas, d’ailleurs. Malheureusement,
c’est tombé en plein pendant le début de leur crise économique. Le contexte
était délicat, j’avais signé deux ans, et au bout d’un an, j’ai senti
que ça allait s’empirer, alors j’ai décidé de rentrer en France. Et
c’est Dijon qui est venu me chercher, le feeling est bien passé. C'est aussi
simple que ça."
Cédric Varrault revient sur son expérience stéphanoise (Source : Poteaux Carrés, 2 août 2016)
Capitaine du DFCO , Cédric Varrault s'est confié au Progrès lors de son stage au Chambon-sur-Lignon.
"Je garde un très bon souvenir de mes trois saisons en vert. Je suis encore attentivement les résultats de l'ASSE notamment grâce à Loïc Perrin, avec lequel je suis en contacts réguliers. Ayant joué une saison à Panionios, j'ai vu un vrai engouement pour le foot en Grèce avec des supporters qui sont fanatiques souvent à la limite. L’AEK est, l’un des clubs les populaires de Grèce même si l’Olympiakos est encore loin devant. L'AEK est une bonne équipe mais, pour moi, la qualification des Verts ne fait guère de doutes. Ils sont mieux armés pour ce genre de match. Il y a largement la place de faire mieux qu’à l’aller. Il y a beaucoup de folklore autour de l'ambiance. Il faut en faire abstraction. Les Stéphanois commencent à avoir l’expérience de ce genre d’ambiance. Il faudra juste bien rentrer dans le match."
Cédric Varrault de retour dans le chaudron (Source : Poteaux Carrés, 11 octobre 2016)
Dans la dernière édition du Bien Public, le capitaine dijonnais Cédric Varrault évoque ses retrouvailles avec le Chaudon programmées ce dimanche à 17h00.
"C’était marrant, quand on sortait après les matches, ça nous arrivait souvent d’entendre cette chanson "Qui c’est les plus forts ? Évidemment c’est les Verts !". Je venais de Nice où j’avais toujours joué. Je voulais voir autre chose et j’ai eu cette opportunité qui était très intéressante. Dès la première année, on termine 5e et on se qualifie pour l’Europa League. Les deux suivantes étaient plus compliquées puisqu’on s’est sauvé dans les dernières journées. Le foot est vraiment ancré dans leur mentalité. Il y a une vraie ferveur dans cette ville. Partout où on va, on nous parle de foot, on ne peut pas y échapper.
Le Chaudron, quand ça pousse, c’est impressionnant. Sur le terrain parfois, on avait du mal à s’entendre. Plusieurs fois, on a vécu des sorties de stades où c’était assez houleux. Il fallait que les CRS viennent et que l’on attende trois quarts d’heures pour qu’on puisse nous escorter à la sortie. Chez moi, ça m’est arrivé que l’on jette des œufs sur ma porte de garage ou sur ma terrasse. Mais inversement, quand ça se passe bien, c’est génial ! J'étais déjà revenu à Geoffroy-Guichard avec Dijon en avril 2012. J'en garde un souvenir mitigé car il y avait un huis clos partiel. Les deux tribunes derrière les buts étaient fermées et il n’y avait pratiquement pas d’ambiance dans le stade.
Comme joueur, il ne reste que Loïc Perrin que j’ai régulièrement au téléphone. Dans le staff, il y en a encore beaucoup qui était là à mon époque. Cela fait toujours plaisir de revenir dans un stade et voir des gens que l’on connaît. J’y suis quand même resté trois ans ! L’ASSE est un club qui est revenu au sommet depuis plusieurs années et qui joue l'Europa League. Saint-Etienne fait toujours partie des cinq meilleures équipes du championnat. C’est un club qui le mérite."
Cédric Varrault prolonge son bail avec Dijon FCO (Source : Poteaux Carrés, 18 avril 2017)
Comme il nous l'avait annoncé le 30 mars dernier, Cédric Varrault va prolonger aujourd'hui d'un an son contrat avec le DFCO. A 37 ans, l'ancien latéral stéphanois et actuel capitaine dijonnais a claqué 3 pions en 27 matches cette saison en championnat.
"Quelle que soit l'issue sportive en mai, il a gagné sa prolongation sur et en dehors du terrain. Il fait une saison pleine en Ligue 1. C’est un joueur attaché au club, et nous le sommes à lui. On aimerait qu’il soit avec nous le plus longtemps possible, et même après dans un rôle à définir", déclare le président dijonnais Olivier Delcourt dans la dernière édition du Bien Public.
L'interview masquée de Florent Perraud sur Cédric Varrault (Source : Poteaux Carrés, 16 septembre 2017)
Ancien portier du DFCO et actuel responsable marketing de l'adversaire du soir des Verts, l'ex-gardien stéphanois Florent Perraud a répondu au débotté à quelques questions sur Cédric Varrault, qui jouera masqué ce samedi.
Cédric
Varrault a le masque car il a honte d’être relégable et de faire partie de
la plus mauvaise défense du championnat au moment d’affronter Sainté ?
Cédric a le masque mais il a aussi les crocs. Ce soir on va tout faire pour
rectifier le tir. On vit un début de saison compliqué mais on va s’efforcer
de réagir même s’il y aura une belle équipe en face.
Aujourd’hui
tout est permis, Cédric Varrault va donc porter un masque. Il sera Cendrillon ?
Napoléon ? Joséphine ? Colombine ? Dracula ? Casanova ?
Sikora ?
Je ne savais pas qu'il y avait Sikora au bal masqué ohé ohé ! (Rires) Non, ce
soir ce sera Varinho ! (Rires)
Aimerais-tu
que Varrault mette le masque de Spiderman pour rendre hommage à Jérémie Janot
et Aubame ?
Bien sûr, comme ça on ferait le buzz au DFCO !
A moins que
Varrault ne mette le masque de Hulk comme Saadi contre Waasland Beveren, ou se
la joue comme notre poto Carrey Jim ?
Ce n’est pas possible de porter du Vert contre les Verts même s’ils ne
jouent pas en vert. Avec Cédric on aime Sainté mais ce soir vous êtes nos
adversaires ! On ne rend pas hommage à des adversaires.
Varrault
mettra donc le masque de Zorro pour affronter notre sergent Garcia…
(Rires) Il aura le masque du capitaine gagnant… Son nom, il le signe à la
pointe de son soulier, d’un V qui veut dire Varrault ! (rires) V comme la
victoire qui nous ferait du bien. Sainté, c’est pas mal cette saison, ça
change. Avec votre sergent Garcia le style de jeu est différent. C’est plus
offensif, c’est plus attrayant. Les Verts font un bon début de saison. Mais
j’espère que ce soir ils se calmeront et nous feront une rechute pour mieux
repartir ensuite.
Varrault
arborera également un masque pour tenter de faire peur à Loïs Diony, non ?
Pas besoin, Loïs va être gentil avec nous ce soir. Pas de blague Loïs, hein !
Ce soir il sera bien sage, encore en rôdage. Il sera très bon dès la journée
suivante chez les Verts. Même s’il n’a pas encore marqué, je ne m’inquiète
pas du tout pour lui. Je reste convaincu qu’il va s’imposer à Sainté, il
faut juste un temps d’adaptation. Loïs a changé de club, il a changé
d’univers. Le maillot vert est beau mais lourd à porter. C’est le plus gros
transfert de l’histoire du club. Il faut être clément avec lui et Sainté
sera gagnant.
Et si
Varrault portait un masque anti-rides , Après Benjamin Nivet et Vitorino
Hilton, c’est le 3e joueur le plus vieux de l’élite cette saison !
Cédric n’a pas besoin de masque anti-rides, il vieillit bien. Il est encore
beau comme un adolescent ! (rires) Il est encore au top. Comme le bon vin en
Bourgogne, il vieillit très bien. Cédric aime le foot, il est très pro et a
une super hygiène de vie. Y’a pas de secret, si t’as pas ça, tu ne peux
pas avoir une telle longévité dans l’élite. C’est ce qui est explique
qu’il soit encore performant en L1.
Varrault
peut-il nous refaire le coup de son ancien coéquipier stéphanois Sanago ?
Quand il jouait à Al Fujairah, Bouba avait marqué masqué.
Malgré son masque, Cédric pourra marquer ce soir. Ce ne sera pas un problème
pour lui. Mais je vois plutôt un doublé victorieux de Benjamin Jeannot contre
un but de Loïc, qui reste un joueur majeur de l’ASSE, le beau symbole de ce
club.
Varrault a le
masque. Et la plume ? Ecrit-il des poèmes à ses heures perdues comme
David Hellebuyck ?
David est un mec atypique, c’est pour ça qu’il est capable de prendre sa
plume. Cédric un peu moins ! (rires)
Cédric Varrault revient sur ses années vertes (Source : Poteaux Carrés, 10 février 2018)
Vivant très probablement sa dernière saison de joueur professionnel, le défenseur central dijonnais Cédric Varrault (38 ans) replonge dans ses vertes années dans un entretien publié aujourd'hui sur le site de So Foot. Extraits.
"Je suis parti dans l'idée d'arrêter à la fin de saison. J’avais prolongé mon contrat d’un an la saison dernière, avec ensuite une probable reconversion au DFCO. Dijon, c’est une ville où je me sens bien. Ma femme et mes enfants apprécient d’y vivre, nous y avons noué des amitiés. Partir relever un autre challenge à 38 ans, ce n’est pas facile. Je suis plutôt en train de préparer ma reconversion. Je ne m’imagine pas à rester sans rien faire. Je prendrai deux bons mois de vacances après la fin de la saison. J’ai déjà commencé ma formation pour passer mes diplômes d’entraîneur. Je n’en suis qu’au début, mais je vais m’orienter vers ça. Une chose est certaine, jouer me manquera...
J'ai rejoint Sainté en juin 2007, cela faisait presque neuf ans que j’étais à Nice. Il fallait voir autre chose. Un an plus tôt, j’avais failli partir à Bordeaux. Saint-Étienne aussi s’était déjà manifesté. Nice avait refusé. Mais cette fois-ci, mes dirigeants étaient d’accord pour que je parte. Et puis, Saint-Étienne, ce n’est pas n’importe quel club. La première saison, d’ailleurs, tout se passe bien : on termine à la cinquième place et on décroche une qualification en Ligue Europa, avec Laurent Roussey comme coach. C’est ensuite que ça s’est gâté... Les deux années suivantes, on termine à la dix-septième place. Il y a même une saison (2008-2009) où on se sauve à la dernière journée, grâce à un succès 4-0 contre Valenciennes, et à d’autres résultats favorables.
Je me souviens du contexte assez pesant : les supporters stéphanois étaient à cran, il y avait des CRS autour du stade, au cas où ça se passe mal... Quand je suis venu ici, je connaissais la passion des gens pour le club. Quand tout va bien, c’est génial. Quand c’est plus compliqué, ça devient chaud. Parfois, tu attends une ou deux heures avant de sortir du stade. J’ai déjà vu les supporters envahir le terrain d’entraînement. À Nice aussi, les supporters sont passionnés. Moi, cela ne m’a jamais posé de problèmes. Même en Grèce, où certains supporters sont carrément fanatiques, je ne me suis jamais senti en danger."
Cédric Varrault ne raccroche pas (Source : Poteaux Carrés, 8 août 2018)
Non conservé par le DFCO après sept ans de bons et loyaux services, Cédric Varrault (38 ans et demi) ne souhaitait pas pour autant raccrocher les crampons. Comme l'a révélé ce matin le site actufoot, il a signé avec le club de Saint-Jean Cap Ferrat (Alpes-Maritimes), le Villefranche Saint-Jean Beaulieu AC, pensionnaire de National 3 !
L'ancien latéral stéphanois revient pour nous sur ce choix. "J'avais eu des promesses de reconversion à Dijon mais au final il n'y a rien eu de vraiment concret. J'ai eu quelques touches en L2 cet été mais c'étaient juste des prises de renseignements, ce n'est pas allé plus loin. J'aurais sans doute pu recevoir d'autres propositions, des challenges sur une année. Mais après réflexion, j'avais aussi envie de me poser et de retourner vivre du côté de Nice. Je reviens chez moi en quelque sorte. Je me sens bien et j'avais envie de continuer à jouer. Saint-Jean Beaulieu est un très bon club amateur. Cela me permet également de passer mes diplômes d'entraîneur dès cette année. C'est cool ! Je souhaite en effet me reconvertir dans le foot. Entraîner, ça m'intéresse, ça me plaît. Je n'ai pas de plan de carrière bien arrêté. Je pense que vais commencer par entraîner des jeunes. Après on verra ce qu'il en sera en fonctions des opportunités et des projets qui se présenteront à moi."
Cédric Varrault retourne aux sources (Source : Poteaux Carrés, 11 juillet 2019)
De retour à Nice comme adjoint de l'équipe réserve, Cédric Varrault raconte dans une interview accordée au site Actufoot, son bonheur de réintégrer cette saison son club formateur :
"Je serai
l’adjoint de Laurent Bonadei avec la N3. L’idée est que je sois un peu son
relais. Je vais essayer d’apporter mon expérience aux jeunes du groupe,
d’encadrer sur le rectangle vert mais aussi en dehors sur le banc.
On a repris lundi, c’était top ! Cela a permis de présenter certains
points, de découvrir le groupe, de mettre en place certaines choses et surtout
d’apprendre à se connaître. C’était un super premier contact ! On va
rentrer rapidement dans le vif du sujet.
Au niveau sportif, ça serait bien de pouvoir remonter en N2. Après, nous
allons voir au fur et à mesure de la saison. L’idée est d’aider les jeunes
à progresser au maximum. On veut leur apporter des nouvelles compétences, des
conseils précieux pour progresser. Je vais essayer d’apporter toute l’expérience
que j’ai eu en tant que joueur. Tout cela, justement, dans le but de les
aider, un jour, à atteindre l’effectif professionnel.
Nice c’est mon club de cœur ! Je suis arrivé à l’âge de 18 ans donc
j’ai aussi connu l’équipe réserve. J’ai un peu franchi tous les échelons
avant de pouvoir signer professionnel. En effet, j’ai également porté le
brassard de capitaine de l’équipe en Ligue 1, pour moi c’est vraiment le
club qui a lancé ma carrière. C’est un simple retour des choses. Maintenant,
je vais essayer d’apporter certains conseils et tout ce que j’ai appris auprès
des jeunes pour qu’un maximum de joueurs puisse atteindre l’élite. La côte
d’Azur, c’est toute ma vie, j’ai grandi ici dans la région. J’ai connu
le monde amateur en jeune ici. Nice est le club qui m’a tout donné. J’ai pu
vivre de ma passion et faire le métier de mes rêves grâce à l’OGC Nice.
Donc comme je le disais je me dois de redonner au club tout ce qu’il m’a
donné. L’OGC Nice accorde beaucoup d’importance aux anciens. Il donne aussi
une perspective de reconversion aux ex-joueurs du club. Il garde certaines
valeurs et on le voit aussi avec les actions solidaires et humanitaires auprès
des enfants et des personnes dans le besoin. On voit que Nice attache beaucoup
d’importance à toutes ces choses. Cela montre que le club a grandement évolué.
Je suis fier de faire partie de ce projet.
Le projet que m’a proposé Gilles Grimandi était vraiment ce que je
voulais faire. Pouvoir côtoyer Laurent au quotidien, c’est top ! Le club a évolué
au niveau sportif, il fait partie des 5 plus gros clubs français. On le voit au
niveau sportif avec les résultats, au niveau des infrastructures qui sont de très
haut niveau. Tout est mis en œuvre pour que l’on puisse travailler dans les
meilleures conditions chez les pros comme au centre de formation. Il y a tout
pour que Nice devienne un très grand club.
En tant qu’ancien joueur cela fait toujours plaisir de revoir tous les
supporters et les gens qui aiment l’OGC Nice. Cela nous permet de nous
rappeler de quelques souvenirs et de les remémorer avec eux. C’est un honneur
et un plaisir de pouvoir partager ces moments et c’est pour ça que nous les
anciens nous répondons toujours présent lorsque le club nous sollicite. Cela
nous permet de continuer à véhiculer certaines valeurs avec les personnes qui
aiment ce club.
Cela fait maintenant un an que je suis revenu sur Nice. L’année dernière
j’étais au club de Villefranche Saint-Jean Beaulieu où j’ai vécu une
superbe expérience humaine et sportive. J’ai découvert de très belles
personnes et cela m’a permis aussi de toucher à l’autre côté car j’étais
l’adjoint des U19. J’ai donc passé ma première formation. Mon but est de
continuer à apprendre au contact de formateurs, d’entraîneurs d’un club
pro avec des grands niveaux. Je veux m’endurcir un maximum et poursuivre mon
apprentissage. Pour moi, c’est tout bénéfique ! L’idée, dans un second
temps, serait d’obtenir le D.E.F. Cette saison, l’objectif est tout
d’abord prendre du plaisir car c’est ça le football. De continuer à
apprendre et à m’enrichir auprès des très bons formateurs et des très bons
entraîneurs ici à Nice. Vraiment, je veux prendre du plaisir en partageant mon
expérience aux jeunes."