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Monaco-ASSE : 1-2
Que la victoire est belle !
Source : Site officiel de l'ASSE

Samedi 26 septembre 2009

Fiche du match

Quel bonheur ! Les Verts ont eu raison d’y croire. Après avoir ouvert le score dès la 3ème minute par Sanogo, ils se sont offerts, en toute fin de match, grâce à Bergessio une victoire haut de gamme à Monaco, intraitable jusqu’ici. Et le meilleur, c'est que les Verts l'ont bien méritée

Le match

A la lecture des statistiques d’avant-match, tout opposait Monégasques et Stéphanois. D’un côté, Monaco avait enchainé trois victoires en autant de matches au stade Louis II. De l’autre, l’ASSE était toujours rentrée bredouille de ses déplacements. La mission stéphanoise s’annonçait donc périlleuse mais les raisons d’y croire étaient bien réelles. Trois jours plus tôt, Blaise Matuidi et ses coéquipiers avaient séduit et anéanti Nice en Coupe de la Ligue (4-1).

Bien décidée à prolonger cette embellie en championnat, l’ASSE, qui avait d’ailleurs réenfilé son maillot Coupe, alignait les mêmes lignes d’attaquants et de milieux de terrain. En revanche, Alain Perrin avait remodelé sa défense. Loïc Perrin récupérait une place de titulaire.

Sanogo, tête en or 
Dans un stade acquis à leur cause mais sur une pelouse indigne, les Verts attaquaient idéalement la partie. Dès le premier corner, Sanogo catapulta de la tête le ballon au fond des filets (3e).  Monaco encaissait là son premier but de la saison à domicile. Galvanisés par ce scénario parfait, les Stéphanois gardaient  le bon tempo. En face, Monaco réagissait par à-coups. A une remise sans danger de Park (7e) succéda un coup franc puissant de Nene boxé par Janot (12e).

 
NDaw sur le poteau  
Clairement, les Verts étaient les plus tranchants. Sur un coup franc excentré d’Augusto, N'Daw profita d’un mauvais renvoi et expédia une reprise qui fracassa le montant droit de Ruffier (19e). Le ballon revint sur le défenseur stéphanois dont la seconde reprise fut beaucoup trop aérienne. Au fil des minutes, Monaco s’enhardissait. Janot se coucha sur une frappe de Nene (20e) puis une tête de Traoré (26e). Si Monaco étalait une vague domination par un coup de tête trop croisé de Coutadeur (32e), l’ASSE continuait de jouer tous les coups à fond. Sur un centre de Sanogo, Adriano chipa un ballon de but à Bergessio (39e) avant qu’un missile de NDaw ne passe au-dessus (42e).

Puygrenier en force
Au retour des vestiaires, l’ASSE renouvela ses batteries avec les entrées de Dabo et Payet pour remplacer Varrault et Augusto, souffrants. Matuidi glissa à gauche de la défense. Les Stéphanois repartaient avec la même détermination. Perrin fut contré de justesse (49e). Monaco répliqua par un coup franc vicieux de Néné repoussé par Janot (51e). Mais le gardien stéphanois ne fit que retarder l’échéance. Sur un nouveau coup franc de Nene, Puygrenier jaillit au premier poteau pour smasher le ballon de la tête dans les filets stéphanois (55e). 

Tout était remis à égalité mais Monaco prenait l’ascendant. L’ASSE résistait corps et âme. A tel point que Sanogo souffrait de crampes et fut remplacé par Ilan, qui effectuait son retour à la compétition.

Bergessio, quel buteur !
Les minutes défilaient et les forces s’équilibraient de plus en plus. Les Verts ne voulaient pas subir. Mieux que ça. Ils insistaient et avaient raison d’y croire. En toute fin de match, sur un coup franc excentré de Payet, Bergessio décollait pour catapulter de la tête au fond des filets (90e). Quel bonheur !

Les réactions

Alain Perrin (sur Foot +) : «Ce soir, c’était mieux à l’extérieur. Nous cherchons toujours à produire du jeu même en déplacement. Les joueurs sont très contents. Ils ont fait du bon boulot. Nous avons réussi des choses intéressantes même si les changements contraints nous ont un peu perturbé. Nous avons eu la réussite pour faire la différence en fin de match. Nous sommes dans la continuité du travail que nous accomplissons. Désormais, nous devons confirmer face à Bordeaux, samedi prochain, au stade Geoffroy-Guichard.»
 
Jérémie Janot (sur Foot +) : «C’est une victoire importante. Nous voulions garder la dynamique du succès en Coupe de la Ligue. C’est ce que nous avons réussi. Une fois de plus, nous sommes récompensés par le gros travail des attaquants, qui ont également beaucoup défendu. C’est vraiment une victoire collective. Tout le monde s’est mis au diapason. On avait dit qu’on pourrait vraiment juger notre équipe, une fois qu’elle serait complète. Beaucoup de joueurs ont élevé leur niveau de jeu et donc celui de l’équipe.»
 
Boubacar Sanogo (sur Foot +) : « Ça se passe bien pour le moment. Nous sommes très contents. Le succès en Coupe de la Ligue nous a apporté beaucoup pour la confiance. Nous sommes venus chercher la victoire à Monaco en associant la réussite à beaucoup de combativité. L’entente avec Gonzalo est effective. J’espère qu’on va encore s’entendre encore de mieux en mieux dans le futur»
 
Gonzalo Bergessio (sur Foot +) : «Je suis très content parce que c’est un but important pour l’équipe. C’est toujours plus facile quand on joue avec un joueur de la classe de Bouba (Sanogo) et de mes coéquipiers. Lutter quand l’équipe le nécessite, c’est également important. Je suis content d’être à la finition du jeu de cette équipe. Nous aurons encore de bons moments à vivre. »

Quant à Guy Lacombe, «c'est la manière et la façon dont on a abordé le match qui m'ont déplu», a dit l'entraîneur monégasque après cette deuxième défaite de la semaine. « Il ne faut pas croire que Monaco va entrer sur le terrain et va gagner. On ne peut pas obtenir un résultat en L1 en démarrant ainsi. On s'est mis un fil à la patte. On n'est pas entré avec les mêmes conditions mentales que contre Nice ou le PSG. Je ne comprends pas pourquoi. Ensuite, quand on débute mal, on ne se cache plus. Et tout s'enchaîne. On retombe dans l'individualisme de la saison passée. Si on fait, sur le terrain, ce qu'on a envie quand on a envie, ça va retomber. On a des joueurs de ballon mais pas de football. On va donc tous se remettre en question. On sait que c'est fragile. C'est un nouvel avertissement.»

L'analyse de la Presse

Le Dauphiné Libéré : Monaco 1 - Saint-Étienne 2 : Première pour les Verts

Les Stéphanois se sont imposés dans le Principauté grâce à un but de leur attaquant argentin Bergessio, à l'ultime minute du match. Avec ce deuxième succès d'affilée, ils sortent enfin de la zone de relégation (15es).

Saint-Etienne a remporté, à Monaco (2-1), son premier match à l'extérieur de la saison, grâce notamment à un nouveau but de sa recrue argentine Bergessio à l'ultime minute. Pour la première fois de la saison, Monaco, qui a mis trop longtemps à rentrer dans la rencontre, abandonne donc des points à domicile. Saint-Etienne, de son côté, a démontré que son classement avant la journée (18e) n'était pas conforme à son potentiel et sort logiquement de la zone rouge.

Après avoir laissé plusieurs de ses titulaires au repos lors de la dernière sortie à Nancy (0-2) en coupe de la Ligue, Guy Lacombe, ne s'attendait certainement pas à voir sa formation aussi apathique en début de rencontre. Les Stéphanois n'en demandaient pas plus. Sur leur premier corner obtenu, Sanogo, complètement libre de tout marquage au deuxième poteau, catapultait le ballon au fond des buts de Ruffier (1-0, 3e). La réplique ne survenait que sur coups de pied arrêtés. Mais ni Coutadeur (10e), Nenê (13e) n'étaient précis. Dans le jeu, les Monégasques dormaient, à l'image de Puygrenier derrière, ou de Gudjohnsen devant, toujours en manque de condition.

Bergessio à nouveau décisif

En face, les Verts géraient tranquillement. Ndow manquait même de doubler le score avec une reprise qui s'écrasait sur le poteau d'un Ruffier sans réaction (19e). Nenê (21e), Coutadeur (32e) tentaient bien de réagir, mais c'était trop épisodique pour égaliser avant la pause.

Après celle-ci, le scénario devenait différent. Monaco était plus agressif et Saint-Etienne, sans Fernandez, ni Varrault remplacés par Payet et Dabo, subissait. Un coup franc vicieux de Nenê obligeait Janot à repousser le ballon en corner (52e). Puis, sur un nouveau coup franc de Nenê, Puygrenier surgissait et coupait la trajectoire pour égaliser de la tête (1-1, 56e).

S'ensuivait une bonne période azuréenne, qui se précisa après la sortie de Gudjohnsen au profit de Nkoulou et le passage de Coutadeur comme organisateur. Elle n'était pourtant pas récompensée d'un but. Et ce furent même les Stéphanois qui, par quelques contres dangereux en toute fin de partie, se créèrent les meilleures opportunités. Alors que la rencontre entrait dans sa 90e minute, Payet frappait un coup franc "dans la boîte" que reprenait victorieusement de la tête Bergessio (2-1, 90e).

http://www.ledauphine.com

Le Progrès : Bergessio, ce héros

Le buteur argentin a libéré les siens dans les dernières secondes,l’ASSE décroche le jackpot en s'imposant à Monaco.

Quatre buts en quatre matchs depuis son arrivée. Bergessio carbure au super et s’arrache de la première à la dernière minute. Son coup de tête victorieux dans les toutes dernières secondes, rapporte gros.

Pour stabiliser sa défense, Alain Perrin avait encore innové. Enfin débarrassé de ses pépins physiques, Loïc Perrin était titularisé pour la première fois de la saison, sur le côté droit, au détriment de Dabo qui prenait place sur le banc. C’était la seule surprise du onze stéphanois. Côté ambiance, il n’y en avait pas, si ce n’est que le stade Louis II sonnait encore plus creux que d’habitude. Cela donnait à la rencontre un petit air amical. Il fallait se féliciter qu’un millier de supporters stéphanois ait fait le déplacement jusqu’en Principauté.

Ils n’étaient pas venus pour rien puisque, dès la troisième minute, leurs protégés leur donnaient l’occasion de s’enflammer, et sur un coup de pied arrêté, ce qui jusqu’à présent n’était pas franchement leur spécialité. Un corner de Fernandez au second poteau et c’est Sanogo qui surgissait pour propulser de la tête le ballon au fond des filets malgré Alonso, pourtant bien placé sur sa ligne (3e). L’AS Monaco venait d’encaisser son premier but de la saison à la maison. Un second aurait dû suivre un quart d’heure plus tard sans un mélange de maladresse et de malchance. A la réception d’une mauvaise relance de la tête d’Adriano, N’Daw se retrouvait seul au cœur de la surface de réparation, le but grand ouvert. Le défenseur central frappait instantanément de toutes ses forces. Poteau. Comme dans une partie de flipper, il bénéficiait d’une seconde chance, sa tentative, cette fois, ne trouvait pas le cadre. Le Sénégalais pouvait se prendre la tête à deux mains, la balle de break avait été trop belle. Mieux valait ne pas avoir à la regretter plus tard.

Heureusement, pour l’instant et pour une fois, la défense verte tenait bon. Il faut dire que Nenê et Alonso, les deux artistes, n’étaient pas dans un grand soir, tout comme Gudjhonsen inexistant. La plus belle occasion monégasque était à mettre à l’actif de Coutadeur dont le coup de tête flirtait avec le poteau de Janot (32e). Une égalisation à ce moment du match aurait été vécue comme une véritable injustice. Même s’ils laissaient souvent le monopole du ballon à leurs hôtes du soir, les Verts étaient finalement les plus menaçants. Juste avant la pause, Adriano enlevait un ballon de but devant Landrin (40e).

Malgré l’avantage au tableau d’affichage, Alain Perrin décidait de revoir ses plans au retour des vestiaires. Payet remplaçait Fernandez, Dabo prenait la place de Varrault. Au-delà des changements, c’est tout le dispositif qui était modifié, Matuidi reculant d’un cran en défense, côté gauche, Dabo se fixant au milieu de terrain juste devant Loïc Perrin. Les Monégasques n’allaient pas leur laisser le temps de trouver leurs marques. À force de concéder des coups francs, les visiteurs finissaient par céder sur l’un d’eux. Puygrenier se rappelait au (mauvais) souvenir des supporters stéphanois, lui qui faillit revêtir le maillot vert la saison dernière. Son coup de tête faisait mouche, Janot ne pouvait que le détourner sur le poteau, rentrant pour l’occasion (56e).

1-1, Monaco soufflait, Saint-Étienne se crispait et c’est l’intensité du match qui allait subitement retomber. Payet, plaqué par Alonso, aurait pu le faire basculer à la 82e. Mais M. Viléo oubliait, à tort, de laisser jouer l’avantage alors que trois Stéphanois filaient au but. Ce n’était finalement que partie remise. A moins d’une minute de la fin du temps réglementaire, Bergessio, à la lutte avec Adriano, trouvait la force de la tête de loger le cuir au fond des filets de Ruffier. Un but de guerrier. Les Verts ne pouvaient pas mieux préparer la venue du champion bordelais, samedi prochain, à Geoffroy-Guichard.

Thomas Dutang

http://www.leprogres.fr

L'œil de Robert Herbin : « Sur la bonne voie »

« La rencontre a commencé comme il le fallait puisque nous avons marqué rapidement. Par la suite, on s'est efforcé de tenir. Ce fut un match réaliste, collectif et finalement assez bien léché de notre part. Il y avait un certain rythme.
À l'arrivée, cette victoire encourageante est totalement méritée face à une équipe monégasque qui avait obtenu des résultats satisfaisants jusque-là. Même si en seconde période, le ballon était beaucoup plus dans les pieds des Monégasques, ça tournait en rond. En général, on a développé un jeu en contre qui fut beaucoup plus rapide que celui pratiqué par les locaux. Les deux attaquants ont marqué, c'est bien. Ils se montrent efficaces. Je trouve ça très intéressant pour la suite. La défense a également semblé beaucoup plus stable. Même s'il a réalisé un match de rentrée satisfaisant, sans plus, Loïc Perrin apporte une sorte de confiance. Il rassure. Il était opportun de le faire reprendre sur un match comme celui-ci. Car quand on joue à Monaco, on est certain de ne pas subir la pression. Samedi, tous les joueurs ont beaucoup donné. On ne peut pas dire qu'un joueur a sauvé le match ou qu'un autre l'a raté. Malgré quelques erreurs, ce fut un match plein, avec un bon bloc. On a ressenti de la solidarité, du plaisir. Le plaisir que l'on peut avoir à créer quelque chose ensemble. Or comme le football est un sport collectif, je pense que l'équipe est sur la bonne voie.
Techniquement, on a pu développer du jeu et cela ne peut que contribuer à faire progresser le groupe. Un gros match arrive samedi avec la réception de Bordeaux. Je souhaite qu'on le réussisse. Même si on devait le perdre, j'attends une confrontation quasiment équilibrée. Je crois que l'équipe est armée pour ça, d'autant plus que ce succès à l'extérieur doit lui conférer davantage de confiance. Et un résultat positif le week-end prochain lui donnerait encore plus d'assurance ».

Propos recueillis par Thomas Dutang

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Christophe Landrin : "Des bases intéressantes"

Deux victoires en quatre jours. «On reprend confiance» se félicite le milieu de terrain

Peut-on parler de victoire fondatrice ?

Oui mais je parlerais peut-être plus de celle contre Nice en Coupe de la Ligue qui a provoqué un déclic. Avec l'enchaînement des victoires, on reprend confiance. Dans le jeu, c'était pas mal aussi. Désormais, il faut qu'on reste sur cette dynamique de succès.

L'apport de Sanogo et Bergessio semble indéniable. Au stade Louis II, ils ont marqué chacun un but.
Avoir deux attaquants comme eux, forcément ça aide à reprendre confiance. Leur entente a encore été assez frappante contre Monaco. Cela fait du bien à tout le monde et ça permet à chacun de nous de pouvoir s'exprimer librement. Les joueurs qui sont entrés en cours de match ont d'ailleurs tous apporté le plus qu'il fallait.

C'est donc une victoire collective.
Le but encaissé aurait pu remettre en question le travail défensif mais samedi, je pense que la défense a été aussi forte que l'attaque, c'est ce qui a permis de prendre les trois points.

Vous marquez sur deux coups de pied arrêtés, des phases de jeu que vous travaillez beaucoup à l'entraînement. Cela fait longtemps que cela ne vous était plus arrivé.
(il sourit). Oui, on a vraiment eu tout pour nous samedi soir.

Avez-vous douté quand l'AS Monaco est revenu au score grâce au coup de tête de Puygrenier ?
On s'était dit qu'avec tous les efforts fournis, repartir avec un match nul aurait été un peu décourageant.

Réussir à s'imposer de cette façon en toute fin de match, au niveau du mental, ça prouve quelque chose.

C'est ce que vous retenez en priorité de ce déplacement en Principauté ?

On a mené, on s'est fait rejoindre mais au final on a su faire la différence. C'est la preuve que l'état d'esprit a suivi. Maintenant, c'est à nous de faire en sorte que cela ne soit pas qu'un feu de paille. On doit garder cet état d'esprit le plus longtemps possible.

Certains observateurs estiment que l'ASSE n'est pas à sa place dans le bas de tableau. Pensez-vous avoir fait le plus dur en quittant enfin la zone de relégation ?
La saison dernière, des équipes qui jouaient très bien sont descendues. Ce n'est pas le tout de jouer, il faut prendre des points. Ce week-end, on a su allier les deux. Depuis le début de la saison, on s'efforçait de jouer mais il n'y avait pas la réussite au bout. À Monaco, on a su la provoquer. Avant on se procurait des occasions, là on a marqué, c'est la grosse différence. On a d'ailleurs eu un peu peur quand Guirane (N'Daw) a frappé le poteau. On sait dans ces moments-là, qu'on mène au niveau du jeu, mais qu'on n'est pas à l'abri d'un contre.

Sur un plan personnel, comment vous sentez-vous ?
Très bien. En fait, je suis à l'image de l'équipe. L'équipe s'exprime, après individuellement, ça nous permet de nous exprimer.

Matuidi, Gelson et vous-même, Alain Perrin a le choix des armes au milieu de terrain.
Quel que soit le joueur aligné, il faut qu'il apporte tout ce qu'il a. C'est ce que demande le coach, que ce soit à droite, à gauche, au milieu… Il ne faut pas se poser de question et voir avant tout l'intérêt de l'équipe.

Vous recevez le champion en titre bordelais samedi soir. Pensez-vous aborder ce choc dans les meilleures conditions possibles ?
J'espère qu'on sera en confiance pour que cela fasse un beau match à Geoffroy-Guichard.

Vous avez concédé pas mal de coups francs, or on sait que c'est l'une des grandes forces des Girondins.
J'espère simplement qu'ils ne seront pas sifflés aussi rapidement et aussi souvent que ça l'a été samedi soir.

Thomas Dutang

http://www.leprogres.fr/fr/sports/footb ... antes.html