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Patrick Guillou devient entraîneur adjoint de Valérian Ismaël au VFL Wolfsburg 
Source :  Site Poteaux Carrés

Lundi 23  janvier 2017

L'ancien latéral droit stéphanois Patrick Guillou n'a pas changé : toujours numéro deux et besogneux, comme il l'explique dans France Football .Extraits.

 "En rejoignant le VfL Wolfsburg, je réalise un rêve, celui de pouvoir travailler en Bundesliga; que j'avais quitté il y a 24 ans alors que je jouais sous les couleurs de Bochum. Pendant 9 ans, j'ai commenté sur Canal Plus le championnat allemand. J'ai vécu sur cette chaîne une très belle expérience. Cela a été un vrai enrichissement personnel. Ce travail m'a aussi permis de garder contact avec la Bundesliga et d'observer son évolution, année après année. J'y ai vraiment pris beaucoup de plaisir.

 C'est lors de ces déplacements dans les stades allemands pour commenter les matches que j'ai fait connaissance avec Valérien Ismaël. Je me suis surtout rendu à Brème et à Munich et, au fur et à mesure, nos liens avec "Valé" se sont tissés. En parallèle, j'ai également travaillé pour une compagnie d'assurances spécialisée dans le football. J'avais en charge la partie allemande, auprès de 130 joueurs évoluant en Bundesliga. Je me suis notamment occupé des francophones afin de les aider dans leur intégration.

 Bordeaux, c'était une magnifique opportunité de revenir dans le foot. Je suis très reconnaissant à Willy Sagnol d'avoir pensé à moi. Cette expérience de 18 mois en Gironde a été très riche. D'ailleurs je pense que Valérien a passé un coup de fil à Willy pour se renseigner sur mon travail. Valé cherchait quelqu'un qui maîtrise plusieurs langues et qui connaisse la Bundesliga. Je n'ai pas hésité, j'ai été immédiatement séduit. Je ressens une certaine fierté à pouvoir travailler à Wolfsburg, c'est une sorte de retour aux sources.

 Wolfsburg m'offre l'opportunité de revenir dans le pays où j'ai grandi. C'est un vrai plaisir. Je suis un besogneux, j'aime le travail. Et vu le niveau des infrastructures, du stade, de l'effectif et du management, le VfL est une belle adresse. Ici, tout est fait à l'allemande. L'organisation est au top. Devenir un jour entraîneur en chef, ce n'est pas du tout mon objectif. Je sais ce que je veux faire et ce à quoi j'aspire, dans quelques années, mais ce ne sera pas de devenir entraîneur numéro 1."