Accueil Résultats Effectif Nouvelles Stade Palmarès Historique Dirigeants Staff Statistiques Fans Liens | |||
Coupe de France (32èmes) |
|||
Mardi 2 janvier 2018 |
A la veille du premier match de l’année à Geoffroy-Guichard, Jean-Louis appelle tous les amoureux de l’ASSE à s’unir derrière leur équipe pour qu’elle puisse bonifier le travail réalisé en stage cette semaine.
Quel bilan dressez-vous de votre semaine de stage en Espagne?
Nous avons passé une bonne semaine et travaillé dans des conditions idéales.
Nous en avons profité pour resserrer les boulons. C’est important de ne pas
minimiser la situation et que les joueurs soient conscients qu’ils n’ont
pas fait assez en première partie de saison. Je pense que la semaine de
vacances a aussi fait du bien aux têtes.
Quels ont été vos axes de travail en ce début d'année?
L’essentiel est de retrouver la confiance techniquement et mentalement. Nous
sommes donc revenus à des exercices basiques pour que tout le monde retrouve
ses marques. Ensuite c’est par le discours nous avons essayé d’agir. Car
la beauté de ce métier, c’est qu’on peut renverser une situation avec un
bon résultat. Pour ma part, j’ai vu des joueurs plus décontractés qui adhéraient
au discours. Pas un n’est venu à l’entraînement à reculons, malgré la
charge de travail. Ils sont conscients que la situation n’est pas
catastrophique mais que tout dépend d’eux et qu’il va falloir commencer
à le montrer sur un match couperet.
Votre prise de fonction à Saint-Etienne vous rappelle-t-elle celle de
Montpellier compte tenu des contextes similaires?
Dans les deux cas, l’équipe n’avait pas gagné depuis un moment mais à
Montpellier les joueurs étaient plus confiants car l’environnement l’était
également. Ici, l’entourage est plus pessimiste mais c’est à nous de
renverser la situation pour retrouver la confiance et le soutien du public.
Comment articulez-vous votre discours auprès des joueurs?
Il faut trouver un certain équilibre pour leur rappeler qu’ils font le plus
beau métier au monde mais qu’ils ont aussi des devoirs. Je dois leur faire
prendre conscience de l’urgence de la situation sans pour autant leur mettre
une trop forte pression qui pourrait les paralyser. C’est pour ça que je
demande l’union sacrée autour du club. S’ils doivent évoluer dans un
climat hostile, les joueurs ne retrouveront pas la confiance. En revanche, les
victoires appellent les victoires. Dès que nous aurons gagné un match, nous
serons plus confiants. L’équilibre sera toujours fragile mais les joueurs
se rendront compte qu’ils peuvent agir sur la situation.
L’arrivée de renforts sera-t-elle déterminante pour cette deuxième
moitié de cette saison?
Nos premiers renforts sont les joueurs cadres comme Loïc Perrin et Romain
Hamouma qui ont repris place dans le groupe. Avec eux deux sur le terrain,
Saint-Etienne n’est plus la même équipe. Beric m’a fait très bonne
impression aussi. C’est un joueur de surface, un buteur qui a oublié sa
blessure aux ligaments croisés. Je l’ai vu travailler devant le but, il
s’est montré adroit avec le ballon, c’est le plus important dans le
football.
Attendez-vous d’autres renforts?
Nous avons ciblé trois postes. Le défenseur est en train de passer la visite
médicale. Il reste donc un milieu et un attaquant. Tout régler en une
semaine, c’est difficile, il faut avoir de bonnes idées et de bons amis et
que tout concorde en un laps de temps réduit. J’ai effectivement été en
contact avec Yann M’Vila et Paul-Georges Ntep mais j’ai aussi contacté
beaucoup de grands noms qui pourraient être intéressés par le temps de jeu
que je leur propose avant la Coupe du monde.
Comment abordez-vous la réception de Nîmes à Geoffroy-Guichard?
C’est là qu’on verra les hommes et je compte aussi sur les supporters. Le
public de Saint-Etienne impressionne tous les joueurs, je l’ai vu quand j’étais
au Paris Saint-Germain J’espère donc que les supporters nous souhaiteront
une bonne année avec un état d’esprit positif et des encouragements pour
l’équipe. Je sais que les gens sont déçus, je les croise tous les jours
et je les comprend, mais nous avons besoin d’une union sacrée pour y
arriver. Dans la vie, il y a toujours des coups durs mais l’essentiel est de
se relever. Pour ça, il faut retrouver confiance en soi et sans cette union
sacrée ça sera dur.
Jean-Louis Gasset : "Retrouver la confiance"
C'est le mot d'ordre de Jean-Louis Gasset dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Lorsque je j'étais derrière Julien, je n’ai pas pu donner ce que j’avais à donner. J'ai choisi Ghislain Printant pour me soulager, préparer les séances. Julien Sablé est comme Pascal Baills, il est les racines du club, l’ancien capitaine des Verts et il mérite d’être là pour apprendre. Je lui ai dit : "si tu te sens mal à l’aise, tu peux refuser." Mais là, je le sens libéré.
Les gars ont vécu un cataclysme avec ce 0-5 contre Lyon. C’est une grande déception qui restera à vie. On a perdu un match mais il faut se relever. Le foot est fait de rebonds. On est là pour réinstaurer de la confiance et retrouver de la qualité technique car les deux vont de pair. Je veux que les joueurs prennent plus de responsabilité dans le jeu. On ne doit jamais croire que l’on est trop grand mais ne pas se voir plus petits que l’on est. Les gars doivent se faire un peu plus violence. On a quand même une bonne équipe. Des recrues vont arriver.
Tout est à améliorer. Tactiquement, techniquement et physiquement. On est allé en Espagne pour faire le plein à la pompe. On va essayer de gagner parce que ça donne confiance et qu’on peut renverser l’idée que les gens se font, à juste titre, de l’équipe. C’est à nous de jouer. Mais pas seulement en mouillant le maillot, plutôt en se montrant irréprochables."
Jessy Moulin : "Revenir gonflés à bloc à Geoffroy Guichard" La video
De retour dans la Loire depuis hier, Jessy Moulin a répondu avec sérénité aux questions des journalistes à propos de la coupure hivernale et de la rencontre de Coupe de France à venir face à Nîmes. Apaisés après une semaine de stage qui leur a permis de se retrouver, les Verts sont prêts à entamer la deuxième partie de saison.
Que peut-on vous souhaiter pour cette nouvelle année?
Une bonne santé, c’est l’essentiel! Et, sur le plan professionnel, de
bonnes performances pour replacer l’AS Saint-Etienne dans une position plus
confortable.
Pourquoi le stage a-t-il été bénéfique pour le groupe?
Cette coupure nous a fait du bien. Le stage nous a permis de nous retrouver
sans la pression de la compétition et de nous laver la tête pour faire
tomber l’inquiétude.. On en a vraiment profité pour régénérer les têtes
et les corps. La prise de conscience est là. Tout le monde sait qu’on est
dans une situation compliquée. On est loin de la place qu’on visait mas il
n’y a pas d’urgence. Si tout le monde tire dans le même sens, on s’en
sortira. Les matches se gagneront avec toute l’équipe, ça passera par le
travail et la cohésion. Aujourd’hui, on est dos au mur, on n’a pas
d’autre solution que d’avancer.
Comment appréhendez-vous le retour à Geoffroy-Guichard?
Nos supporters savent qu’on a besoin d’eux pour avancer. La situation ne
nous permet pas de perdre du temps et de l’énergie, la priorité est de se
remettre le bon chemin. On a la chance de jouer en coupe avant de retrouver le
championnat, il faut s’en servir pour montrer de belles choses et faire le
plein de confiance pour revenir à Geoffroy-Guichard gonflés à bloc.
Quel souvenir gardez-vous de votre dernier match contre Guingamp?
C’a été difficile de jouer à dix sur ce dernier match mais on a retrouvé
des valeurs d’équipe qui nous manquaient: la combativité, l’engagement.
Malheureusement, le sort nous a coupé les ailes en fin de match.
Ces valeurs sont-elles liées à la prise de fonction de Jean-Louis
Gasset?
Jean-Louis était déjà présent même quand Julien Sablé était aux
commandes. C’est un homme qui a beaucoup d’expérience, il trouve les bons
mots, il sait gérer les situations compliquées. Il nous a beaucoup apporté
mais ça faisait un moment qu’il nous parlait et qu’on connaissait
sa vision des choses.
Justement, quel a été le discours du staff à la reprise?
Le coach nous a souhaité une santé de fer et nous a dit qu’il ne fallait
pas nous mettre plus de pression que ça. Il nous a dit qu’il était
important de relativiser pour arriver à reprendre du plaisir. Le groupe a
bien vécu cette semaine. Être isolés, et travailler sereinement nous a fait
beaucoup de bien.
Du fait de la suspension de Stéphane Ruffier, vous garderez une
nouvelle les buts contre Nîmes. Vous sentez-vous en mission?
Je sais que j’ai quatre matches à jouer mais je ne me vois pas comme le
sauveur. Je suis là pour être le plus performant à chaque fois qu’on fait
appel à moi. Je donnerai tout ce que je peux apporter au groupe mais l’amélioration
de nos résultats passera par une réponse collective. On a la capacité pour
rebondir. Robert Beric va nous faire du bien devant le but, les retours
prochains de Kevin Monnet-Paquet, Romain Hamouma et Loïc Perrin aussi.
Invité à commenter la sanction par la commission de discipline à Stéphane Ruffier, Jessy Moulin a refusé de la qualifier : "Sévère ou pas, ce n’est pas à moi de juger. On m’a dit que j’avais quatre matchs à jouer, je les joue. Pour moi, cela fait quatre matchs de plus." A moins que la commission de discipline décide jeudi prochain de commuer la peine du gardien numéro un des Verts, l'ASSE ayant fait appel.
Ghislain Printant : "On ne lavera les têtes qu'avec des résultats"
Avant de recevoir les Crocos, l'entraîneur adjoint des Verts Ghislain Printant s'est confié au Midi Libre. Extraits.
"J'ai trouvé un groupe impacté par
cette situation difficile. Il est sain mais manque un peu de caractère. On ne
lavera les têtes qu'avec des résultats. Il faut repartir de zéro. Moi qui
suis allé à Glasgow assister à la mythique finale européenne contre le
Bayern, je ressens un peu de fierté d'avoir signé chez les Verts. Je ne
redoute pas la pression parce qu'elle me manquait tellement quand j'étais
sans travail... On espère un éléctrochoc avec le retour des cadres blessés
et quelques renforts au mercato.
Nîmes, ce n'est pas le meilleur cadeau de Noël. C'est un gros piège. Je les
ai vus six fois aux Costières cette saison. C'est une équipe à fort
potentiel offensif et redoutable sur coups de pied arrêtés avec Téji
Savanier à la baguette. Elle est armée pour faire mal. Quand j'ai pris
Bastia, mon premier match était contre Montpellier et quand on a repris
Montpellier avec Jean-Louis Gasset, on a débuté contre Bastia. Les clins
d'oeil, je connais. J'espère juste la même issue. Une victoire, enfin."
"La pression de nos supporters ? Mais les gens veulent une rébellion, voir gagner leur équipe et c’est normal qu’ils manifestent !" déclare Ghislain Printant dans l'Equipe du 7 janvier. "C’était donc important de changer d’air en venant en Espagne, de pouvoir travailler deux fois par jour dans de très très bonnes conditions pour inculquer l’exigence et surtout retrouver de la confiance technique. Aujourd’hui, on sent certains touchés, ils appréhendent."
Les confidences de Loïc Perrin
Loïc Perrin se confie aujourd'hui, 3 janvier, dans Le Progrès. Extraits.
"Je suis en phase de reprise cette semaine. Les choses vont dans le bon sens mais cela risque d’être un peu juste pour dimanche car je n’ai pas encore repris avec le groupe. Je m’entraîne toujours à part. On est en Espagne pour travailler, pour souffrir. Car c’est cela qui va payer. Comme je n’ai pas encore participé aux séances d’entraînement, c’est dur pour moi de parler de Jean-Louis Gasset. Mais il a entraîné quelques-uns des plus grands joueurs du monde. Il sait ce qu’est le foot de haut niveau.
La situation que l’on vit aujourd’hui est compliquée. Ce sont des moments durs dans la carrière d’un joueur. Surtout quand on est attaché au club. J’espère que le mois de janvier va nous permettre d’être plus serein et qu’on pourra souffler un peu après celui-ci. C’est l’objectif à court terme. Après, on verra ce qui se passera. Il faut retrouver ce plaisir, cette confiance. La joie de la victoire, tout simplement. C’est la preuve là encore qu’il ne faut pas banaliser les victoires, même lorsqu’elles sont acquises à l’arraché.
Que ce soit Romain ou moi, on a juste envie d’être sur le terrain pour aider l’équipe. Plus il y a de monde, plus il y a de concurrence et mieux c’est. Cela tire le groupe vers le haut. J’espère du reste qu’on aura moins de pépins physiques pour être le plus performant possible. J'espère que Robert va nous apporter des buts. Cela ne s’est pas très bien passé pour lui à Anderlecht. Je pense qu’il sera revanchard. Cela peut nous faire du bien. Il faut regagner à Geoffroy-Guichard et repartir sur une bonne série."
Olivier Thual au sifflet
Heureux présage ? Olivier Thual sera au sifflet ce dimanche après-midi dans le Chaudron pour le 32e de finale de Coupe de France contre le Nîmes Olympique de Baptiste Valette. C'est le dernier arbitre à avoir dirigé une victoire des Verts (le 14 octobre, 3-1 contre Metz). Depuis, Sainté reste hélas sur une inquiétante série de onze matches sans succès (10 en L1 et 1 en Coupe de la Ligue).
Rappelons toutefois que le bilan de l'ASSE avec ce Brestois de 41 ans n'est pas fameux (9 victoires, 7 nuls, 10 défaites). Attention, la seule fois où il a arbitré les Verts en Coupe de France, ces derniers, pourtant dominateurs, avaient été éliminés en quart de finale à Bollaert (3-1 le 24 mars 2010). Gageons qu'il y aura une meilleure ambiance le 7 janvier que lors de son premier match à GG (0-0 contre Châteauroux le 30 novembre 2002).
Le groupe stéphanois : beaucoup d'absents
Le Progrès du 4 janvier annonce les forfaits de Loïc Perrin et Kévin Monnet-Paquet contre Nîmes : "Hier, le capitaine stéphanois a fait du renforcement musculaire de son ischio-jambier mais ne sera pas encore partant pour disputer le match de coupe de France contre Nîmes dimanche. Même chose pour Monnet-Paquet qui a bossé avec le préparateur physique tandis que le reste du groupe s’est adonné à divers ateliers techniques sous la conduite de Ghislain Printant et Julien Sablé. Léo Lacroix a été ménagé en raison d’un mollet douloureux mais Dioussé, remis de son lumbago, a suivi les deux séances. Selnaes était présent également."
Stéphane Ruffier (4 matchs de suspension suite à son exclusion contre Monaco), Alexander Soderlund (exclu à Guingamp), Vincent Pajot (accumulation de cartons jaunes) sont suspendus.
Jean-Louis Gasset a retenu 21 joueurs pour croquer les Crocos. Vagner reste dans le groupe malgré les retours de Romain Hamouma et Robert Beric.
Moulin, Maisonnial, Guendouz - Pierre-Gabriel, Janko, Théophile-Catherine, Pogba, Lacroix, Silva, Mbengue - Selnaes, Diousse, Maïga, Hernani, Dabo, Cabella - Bamba, Hamouma, Beric, Diony, Vagner
Nouvelles gardoises
Dans sa dernière édition, Le Midi Libre annonce la présence de 850 supporters demain après-midi dans le parcage visiteurs de Geoffroy-Guichard. "17 bus partiront de Nîmes dimanche matin, plus mal de voitures de particuliers, qui ont acheté leurs places avant l'interdiction de vente aux Gardois et départements limitrophes hors parcage" précise le quotidien languedocien.
Sans surprise, l'ancien gardien numéro 3 des Verts Baptiste Valette fait partie des 18 Crocodiles retenus pour ce 32e de finale de Coupe de France.
Comme le souligne l'édition de l'Equipe du 7 janvier, Nîmes se présentera cet après-midi dans le Chaudron avec trois joueurs formés à l'OL : le défenseur central Anthony Briançon (que Cédric Horjak comme Baptiste Valette verraient bien en vert) mais aussi Pierrick Valdivia et Romain Del Castillo.
"Je me souviens d’un match gagné 4-2 là-bas, en moins de 19 ans. Il y avait la sécurité à notre départ du car", raconte Briançon. "On nous a appris qu’un derby, ça ne se perd pas", soutient Del Castillo, prêté par les banlieusards cette saison. "Et je suis sûr que j’aurai cette phrase en tête en entrant sur la pelouse."
Bien que privé de son meilleur buteur, Umut Bozok (suspendu), les Crocodiles se verraient bien faire un coup dans le Forez. "On n’y va pas pour prendre 4-0", prévient Briançon.
L'avis de Bernard Blaquart, coach de Nîmes
Dans Le Progrès du 7 janvier, l'entraîneur nîmois Bernard Blaquart fait une troublante révélation zoologique : les Crocodiles auraient des plumes et non des scutelles !
"La montée n'était pas l’objectif de début de saison, maintenant, on a bien l’intention d’aller au bout. Le chemin est encore très long. La montée est quelque chose de possible, on ne va pas se cacher. Ce match est intéressant, c’est un match de gala, contre une équipe de L1, qui a une histoire, dans un stade mythique. On va s’en servir comme un match de préparation... L’idéal c’est qu’on n’y laisse pas de plumes car le championnat occupe 99 % de nos pensées. Entre l’ASSE et nous, il y a un monde. Ce match paraît très important pour eux, ils ont des choses à se faire pardonner."
Dans la dernière édition du Midi Libre, l'entraîneur des crocodiles nîmois Bernard Blaquart évoque le 32e de finale que son équipe jouera dans le Chaudron ce dimanche dès 14h15. Extraits : "J'entends ici et là que l'on est favori, ça me fait sourire mais ça prouve qu'on tient Nîmes en très haute estime. Cela montre qu'on a bien avancé... ou que Saint-Etienne a bien reculé ! Quel sera le visage des Verts ? Celui de la fin d'année, quand ils ne gagnaient plus, ou celui, plus séduisant, du début de saison ? Je suis persuadé qu'ils ne sont pas à leur place. Le changement d'entraîneur peut les relancer. Ils ont besoin de se faire pardonner et ce match est beaucoup plus important pour eux que pour nous. Si on n'y laisse pas de plumes, de blessés ou de suspendus, ce match n'est pas un problème. Si on passe, ça nous posera des problèmes de calendrier."