Quelques anciens dirigeants : Roger Rocher Michel Vernassa Alain Bompard Henri Grange Mickaël Bozon Omar Da Fonseca Oswaldo Piazza Laurent Canonico Vincent Tong-Cuong Laurent Petit Damien Comolli Didier Lacombe Eric Fages Timothée Maymon Isabelle Sayet Arnaud Jaouen Stéphane Tessier
La Direction de l'ASSE en 2008
Les dirigeants de l'ASSE
(décision du 27 janvier 2010)
Le
Conseil de surveillance Le Conseil de Surveillance, présidé par Bernard Caïazzo, sera constitué de 12 membres : - Bernard Caïazzo, Président - Dominique Rocheteau : Vice-Président (nommé le 29 juin 2010) - Guy Bidoroni : pharmacien, chef d'entreprise et ancien chef de cabinet ministériel) - Emilio Galluccio : ex PDG d'Heuliez New World, faisait déjà parti du CA (décédé en mai 2014) - Eric Gousset : Directeur Business Unit Corporate de Brother France - Patrick Guinard : Directeur Marketing Distribution à la Direction des Ventes Grand Public de France Télécom - Alain Martin : Maire du Pouzin, Conseiller Général en Ardèche, Gérant de société - Olivier Petrini - Willy Sagnol : ex joueur de l'ASSE, Monaco, Bayern Munich (démission le 18 mai 2010) - Laurent Simon : avocat - Sébastien Trescartes : Gérant de la société Alto Expertise - Xavier Court : co-fondateur de vente-privée.com - L’Association ASSE représentée par Georges Bereta et Guy Talon. Jean Candel, Président de l’Association ASSE, exercera la fonction de censeur. Le Conseil de Surveillance a nommé le Directoire, qui sera présidé par Roland Romeyer, assisté de Stéphane Tessier. |
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Le
Directoire Le Directoire, en accord avec le Conseil de Surveillance, a décidé de mettre en place différentes commissions qui sont sous la responsabilité de Roland Romeyer, assisté de Stéphane Teissier : - Une commission technique et sportive constituée de plusieurs membres et dirigée par Jacques Santini qui accepte de mettre bénévolement à la disposition du club ses compétences et son expérience. - Une commission de liaison avec les Anciens Verts et les Associations de Supporters dirigée par Pascal Carrot. - Une commission économique dirigée par Michel Dulac avec notamment des représentants des collectivités locales et régionales (Conseil Régional, Conseil Général, Saint-Etienne Métropole, Ville de Saint-Etienne et Chambres Consulaires). |
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PRÉSIDENT DU CONSEIL DE SURVEILLANCE (juin 2004 - ) Bernard CAIAZZO | |
Vendredi 4 juin 2004, élu à l'unanimité par le conseil d'administration de la SASP ASSE Loire, Bernard Caïazzo, actionnaire du club, a pris la succession de Thomas Schmider, démissionnaire la veille de la présidence, suite au départ de Frédéric Antonetti, l'entraîneur de l'ASSE. Il devient donc le nouvel homme fort du club stéphanois et le 17e président de l'ASSE. Il est né le 15 janvier 1954 à Alger. Après des études à l'ESSEC, il fonde en 1976, à l'âge de 22 ans, la société Quali-Phone. Il devient l'un des pionniers en Europe dans le domaine des centres d'appels. Il revendra cette entreprise en 1990 pour la modique somme de 20 millions d'euros. Quatre ans plus tard, il remord à l'hameçon et crée le Groupe Client Center Alliance, spécialisé dans le telemarketing. Considéré comme l'un des meilleurs experts du sujet, il intervient régulièrement aux Etats-Unis et a initié à ces métiers, depuis 20 ans, de nombreuses entreprises. |
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Aujourd'hui, son entreprise, implantée dans quatorze sites en
Europe, est l'un
des leaders européens avec près de 4000 salariés, côté en Bourse depuis
fin 2000. Son chiffre d'affaires est de plus de 100 millions d'euros.
Le sport est l'autre passion de sa vie. En 1983, il invente le principe
des loges dans les stades qu'il lance au Parc des Princes pour les
rencontres du Paris SG. C'est une réussite. Du coup, il dupliquera le
modèle économique, notamment à Nantes et à Bordeaux. Il fera de même
pour les rencontres de l'équipe de France à partir de 1986. Par la
suite, il participera au lancement du magazine Mondial. Sportivement
parlant, il sera tenté par l'Olympique de Marseille. Mais l'affaire ne se
conclura pas. Le 18 décembre 2003, Bernard Caiazzo, déjà candidat à
la reprise de l'ASSE au printemps 2003, entre dans le capital de
la SASP ASSE Loire. Il s'associe à Thomas Schmider et Jean-Claude
Perrin pour acquérir la majorité du capital d'Exodia (52%), holding de
la SASP ASSE Loire. Mercredi 28 juillet 2004, en achetant les parts de
Jean-Claude Perrin, il va devenir seul maître à bord de l'ASSE auquel
il veut rendre tout son lustre d'antan. Il devient actionnaire
majoritaire avec 51% des parts. Les 49% restantes sont alors détenues par
Roland Romeyer. L'été 2006, les deux hommes équilibrent les comptes :
Bernard Caïazzo n'est plus le seul Président du club. Le 27 janvier 2010, l'organigramme de l'ASSE est modifié et Bernard Caiazzo devient le Président du Comité de surveillance (composé de 12 membres) de l'ASSE. Bernard Caiazzo revient sur les circonstances de son arrivée à l'ASSE Dans un entretien accordé à Denis Chaumier et paru le 16 février 2017 dernier dans "Secrets de présidents" (éd. Hugo Sports), Nanard revient sur les circonstances de son arrivée à l'ASSE. "J'ai atterri chez les Verts
par le hasard d'une rencontre avec Luc Dayan qui m'a informé, à
l'automne 2003, de la situation alarmante dans laquelle se trouvait
l'ASSE. Le club était pratiquement en cessation de paiement, il ne
pouvait pas honorer les salaires de ses joueurs, il venait d'être
interdit de recrutement par la DNCG et était interdit provisoirement de
monter en L1 au cas où l'équipe parviendrait à se classer parmi les
trois premiers. Bernard Caiazzo était programmé pour l'ASSE et pas pour l'OM Dans un entretien accordé à Denis Chaumier et paru le 16 février 2017dans "Secrets de présidents" (éd. Hugo Sports), Bernard Caiazzo nous explique que sa destinée était à Sainté et non à Marseille. "Au plan juridique, je
n'ai jamais été président de Marseille. D'ailleurs je ne figure pas
dans la liste des présidents de l'OM. Heureusement, je n'ai jamais
saisi, en 1994, la main tendue par Bernard Tapie, sinon tout mon corps
aurait été englouti : le bras, l'épaule, la tête. Et mon argent
aussi ! Je trouve beaucoup de mérite à tous ceux qui, un jour, se sont
retrouvés à la tête de l'OM. Je ne les envie pas. Pire encore : pour
tout l'or du monde, je n'aurais jamais accepté d'être président de
l'OM. C'est un contexte beaucoup trop difficile, qui ne me correspond
pas. Saint-Etienne me correspond : je ne recherche pas la lumière, je
ne cherche pas à écraser les autres, ni à devenir plus riche. Bernard Caiazzo commente ses décisions de dirigeant de l'ASSE Dans un entretien accordé à Denis Chaumier et paru le 16 février dernier dans "Secrets de présidents" (éd. Hugo Sports), Bernard Caïazzo commente ses décisions de dirigeant stéphanois. "Je me souviens d'une réflexion du PDG de General Motors, au début des années 1980. Il avait hissé son entreprise au premier rang mondial de l'automobile mais il disait : "J'ai certes contribué à faire de General Motors le numéro un, mais sachez que j'ai pris 50% de mauvaises décisions." Je venais d'achever mes études et sa déclaration m'avait frappé. Chacun dans sa vie, prend de bonnes et de mauvaises décisions, l'essentiel étant de décider. Ma meilleure décision a consisté à prendre Roland Romeyer, puis d'avoir accordé ma confiance à Christophe Galtier. Ces deux décisions ont assuré la stabilité indispensable du club, qui a notamment conduit à notre victoire en finale de la Coupe de la Ligue en 2013. Ma pire décision, c'était après la période Elie Baup. J'ai engagé un coach tchèque, Ivan Hasek, alors que le directeur sportif de l'époque, Omar Da Fonseca, était Argentin. C'était le mariage de la carpe et du lapin. Omar misait sur des joueurs techniques capables de jouer à une touche de balle, quand Hasek souhaitait prendre des arrières latéraux d'un mètre quatre-vingt-dix. Avec le recul, je me demande comment j'ai pu être aussi stupide pour former un tel duo ! Omar a réalisé du bon boulot, en faisant venir une bonne dizaine de sud-américains en stage à Saint-Etienne, dont la plupart ont été des internationaux par la suite dans leurs pays respectifs. J'aurais dû engager un entraîneur de culture hispanique, qui "sente" le même football que lui. Aujourd'hui, on ne prendrait plus certaines décisions. Mais on peut aussi se tromper. Promouvoir un numéro deux en numéro un paraît être une bonne idée, pourtant Laurent Roussey fut un échec, Christophe Galtier un succès. Tout dépend de la personnalité de l'entraîneur. Il faut maintenir la stabilité de Christophe Galtier le plus longtemps possible mais personne n'est indispensable, moi le premier. L'essentiel est de donner les bonnes bases partout et à tous les niveaux. Aimer les hommes qui vous entourent, c'est aussi accepter qu'ils soient heureux sans vous. Si le bonheur d'un enfant le pousse à vivre en Australie, son père doit être heureux pour lui." En savoir plus sur
Bernard Caiazzo Bernard
Caiazzo le 23 décembre 2015, à l'émission Incognito (Sport 365) |
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PRÉSIDENT DU DIRECTOIRE (décembre 2004 - ) Roland ROMEYER | |
C'est le Président Henri Grange, qui a fait entrer à l'ASSE ce fidèle des Verts en juin 2003. Roland Romeyer est né le 25 août 1945 dans le Forez. Après des études à Firminy, où il décroche, à l'âge de 18 ans, le Brevet Supérieur d'Études Commerciales, il entre ensuite à la Sacma Agencements, société dont il prendra le contrôle en 1981. SACMA Agencements sera le sponsor maillot de l'ASSE pour la saison 2003-2004. Roland Romeyer est également actionnaire de la société For et Sport qui gère le centre de Formation de l’Etrat. |
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Ancien dirigeant de la CFA, il connaît
parfaitement le club. (C'est Bernard Champion, son ami, qui lui avait
demandé de devenir dirigeant de l'équipe CFA au début des années
1990). Membre du Directoire sous l’ère de Philippe Koehl,
il est déjà à l’origine du pool bancaire qui sauva l’ASSE. En désaccord
avec la politique sportive de celui-ci, Roland Romeyer présenta sa
démission au lendemain du licenciement de Pierre Mankowski.
Malgré tout, s’impliquant toujours plus dans le club, il devient
vice-président de la structure associative présidée par Jean Candel et
Vice-président du centre de formation aux métiers du sport de l’Etrat
présidé par Jean Boulais, conservant par ailleurs sa place de sponsor au
stade Geoffroy-Guichard. Roland Romeyer est un homme passionné dont la
devise pourrait être «servir sans se servir». En décembre 2004, il
accède à la vice-présidence de l'ASSE après être entré dans le
capital de la société Véridis majoritaire (54 %) dans Exodia qui contrôle
la SASP ASSE Loire. Il aura une mission de fédérateur des partenaires
régionaux. Roland Romeyer est un ancien milieu de terrain reconverti en gardien de but. Il fut Président de club à 3 reprises : à Pont-Salomon (Hte-Loire) où il rencontra celui qui deviendra son patron à la SACMA, Mr Charrel, à Roche La Molière et à St-Ferreol, club qu'il créa en 1998 et qui avait pour parrains Roger Rocher et Patrick Battiston. On l'a compris, le business et le sport sont deux éléments indissociables dans l'existence de Roland Romeyer. Il a aussi pratiqué le tennis, le ski et surtout le sport automobile. Si sa fille Cécile, cardiologue à l'hôpital Nord a préféré se tourner vers la médecine, son fils Frédéric a repris le flambeau: sur l'asphalte, mais aussi à la SACMA, dont il gère une des nombreuses filiales. Le rêve de Roland Romeyer, c'est que les jeunes générations puissent bientôt connaître avec les Verts ce que lui a vécu durant sa jeunesse ! Tout simplement. En juin 2004, il devient vice-président de l'ASSE puis co-président, c'est à dire l'égal de Bernard Caiazzo à la tête de l'ASSE. Le 27 janvier 2010, l'organigramme de l'ASSE est modifié et Roland Romeyer devient le Président du Directoire de l'ASSE. En savoir plus sur Roland Romeyer Son portrait La passion de Roland Romeyer Roland Romeyer se livre dans l'Equipe Magazine du 30 janvier 2016 Sa passion du vélo (17 juillet 2017) Roland
Romeyer a le soutien d'Yvan Curkovic (12 octobre 2019) |
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DIRECTEUR SPORTIF: Dominique ROCHETEAU | |
Article bientôt en ligne | |
CHARGE DU RECRUTEMENT (mai 2015 - ) David WANTIER |
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Le Progrès du 8 mai 2015 affirme que plusieurs réunions
se sont d’ores et déjà tenues pour préparer la saison prochaine en présence
de Christophe Galtier et David Wantier.
Alors que les anciens Verts Jacques Santini (sans club), Alain Merchadier
(manager du Pau FC, club partenaire de l'ASSE) et Sébastien Perez
(directeur sportif du DFCO) avaient transmis leur CV, c'est David
Wantier, l'agent de Romain Hamouma, qui a été retenu pour chapeauter
la cellule de recrutement de l'ASSE.
Bernard Caiazzo définit le rôle de David Wantier : "En ce qui concerne le recrutement, David Wantier interviendra sous la forme d'une société extérieure. Le club veut faire des efforts importants dans ce domaine-là. Il y a une structuration importante en train de se mettre en place. Dominique Rocheteau n'est pas directeur sportif, il est membre du directoire. Il faut bien qu'il y ait une équipe autour de lui et des gens qui travaillent. Il ne va pas courir toute l'Europe pour aller voir tous les matches." |
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La mission confiée à l'agent de Romain
Hamouma a été confirmée par le site officiel : "L’ASSE a
confié à David Wantier, agent sportif détenteur
d’une licence auprès de la Fédération Française de Football, une
mission temporaire concernant le recrutement de son groupe professionnel
(...) Fort de son expérience, David Wantier
assistera et conseillera l’actuelle cellule de recrutement tout en
conservant ses fonctions d’agent sportif dans le respect de la loi et
des règlements de la FFF." |
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DIRECTEUR GÉNÉRAL DES SERVICES (janvier 2018 - ) Frédéric PAQUET |
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Frédéric Paquet, nouveau DG de
l'ASSE : 9 janvier 2018 Frédéric Paquet,veut lancer une nouvelle dynamique : 26 janvier 2018 Frédéric Paquet est appelé à remplacer
Stéphane Teissier qui avait quitté l'ASSE en septembre 2015, après 6
ans passés au club. Mais, qui est Frédéric Paquet ? |
Après
avoir raccroché les crampons en quittant son poste de directeur général
adjoint du LOSC, club de football de Lille, Frédéric Paquet a traversé
l’Atlantique en famille pour tenter de faire son trou aux États-Unis
en faisant l’acquisition du Poinciana
Golf Club de Lake Worth en Floride. « J’avais besoin d’un changement de vie et surtout de relever un nouveau défi », s’enthousiasme Frédéric Paquet qui, après avoir intégré le club de football lillois au début des années 2000, a participé pendant près de 15 ans à son développement. « J’ai vu le LOSC grandir puisqu’à mon arrivée il ne comptait qu’une dizaine de salariés et l’équipe jouait alors en deuxième division. Au fil des ans, le club a vu naître un nouveau stade, remporté une Coupe de France et son effectif s’est largement étoffé », se félicite Frédéric Paquet. Fort de ce constat, le cinquantenaire pense avoir accompli la mission qui lui avait été confiée. « Avec l’équipe directionnelle du club, nous avions réussi à faire ce que nous souhaitions, cela a été parfois très épuisant car il ne fallait jamais relâcher la pression pour rester à flot. J’avais donc besoin de souffler, il était temps pour moi de partir », insiste-t-il. L’aventure américaine Avide de nouvelles expériences, Frédéric Paquet a souhaité quitter l’Hexagone pour s’expatrier aux États-Unis. « C’est une destination qui m’a toujours attiré, j’ai été bercé dès mon enfance par la culture américaine grâce aux films et aux séries télévisées, explique-t-il. Il y a aussi une réelle ouverture d’esprit ici et même si nous échouons il y a toujours la possibilité de recommencer sans être jugé ». Quant au choix de la Floride, il est apparu comme une évidence pour Frédéric Paquet et sa famille. « Nous souhaitions partir vivre au soleil afin de pouvoir échapper au temps gris et trop souvent pluvieux qui règne dans le nord de la France », plaisante-t-il. Après avoir minutieusement construit son projet d’expatriation et afin de faciliter l’obtention de son visa, Frédéric Paquet décide d’investir dans un domaine correspondant à son champ de compétences : le sport. « Il y avait peu d’offres, sauf pour des magasins ou des salles de sport, ce qui ne m’intéressait pas, raconte-t-il. Finalement j’ai trouvé un terrain de golf en vente et comme ma femme est une excellente golfeuse, l’idée nous a plu à tous les deux ». Installé depuis fin 2015 sous le soleil de Floride, Frédéric Paquet admet avoir retrouvé calme et sérénité grâce à l’exploitation de son terrain de golf de 18 trous mais ne souhaite pas s’arrêter là. En parallèle, pour garder un pied dans le milieu footballistique, il s’est entouré d’une équipe de chercheurs et a récemment développé un logiciel permettant de limiter le risque de blessures chez les footballeurs. « En intégrant plusieurs données comme les caractéristiques physiques du joueur et grâce à un algorithme, le logiciel est capable d’alerter s’il y a un risque de blessure, souligne-t-il. Cela permet d’optimiser l’entraînement du joueur, car un footballeur qui reste sur le banc des blessés coûte très cher ». Aujourd’hui, Frédéric Paquet espère voir son logiciel commercialisé en France, mais également aux États-Unis, en attendant de se lancer dans de nouveaux projets. « Je fourmille d’idées concernant le domaine sportif. Elles ne demandent qu’à être réalisées ». Et ce nouveau projet, s'est matérialisé après que Michel Seydoux, son ancien président à Lille, lui a dit que Roland (Romeyer) souhaitait lui parler. Ils se sont appelés, se sont vus puis on se sont mis d'accord dans la foulée. Avant cela, il réfléchissait plutôt à se tourner vers l'étranger. mais, selon lui, Saint-Etienne, fait partie des clubs qui sont importants. Son métier c'est de structurer, développer, organiser. Et ce n'est pas la situation qui oriente ses choix. La situation était pourtant très délicate à l'ASSE en ce début 2018. Ce qui est important, c'est comment sont la structure et les hommes. C'est ça qui fait que le projet est intéressant. On a envie de travailler pour ce club et avec ces personnes. Frédéric Paquet quittera l'ASSE en août 2019, ai,nsi que l'annonce Roland Romeyer : "Il va effectivement partir. C'est quelqu'un que j'avais recruté, notamment sur les conseils de Michel Seydoux, quand le contexte sportif du club était difficile. Je l'avais rencontré le 27 décembre 2017 et il avait pris ses fonctions le 9 janvier 2018. Je ne regrette pas de l'avoir fait venir. Fred est un très bon professionnel, sérieux. il fait partie à part entière de a réussite du club qui a suivi et je l'en remercie. Il restera au club jusqu'à fin août et après, on va se séparer d'un commun accord. En amis. Il sera toujours le bienvenu chez nous et j'en garderai un bon souvenir." Frédéric Paquet s'engagera en janvier 2020 avec le club de rugby de Pro D2 d'Aix en Provence. |
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Son
portrait sur Viadeo Parcours atypique et éclectique. De formation scientifique à la base, qui a renforcé un esprit très cartésien,le sport a toujours été mon univers et révélé une obsession d'adaptabilité et de performance. Après avoir pratiqué plusieurs sports dont le football, je me suis passionné pour le football américain pour lequel j'ai été joueur international et dont j'ai dirigé pendant plus de 10 ans la fédération française et la fédération internationale. Après avoir travaillé sur des plate forme pétrolières dans plusieurs coins du globe, je suis rentré en France et j'ai relancé ma formation dans le management du sport pour compléter par la suite par une formation Marketing à l'Essec. Je veille avant toute chose à préserver un équilibre entre mes deux passions : ma famille et mon travail. Mes centres d'intérêt sont bien évidemment l'univers du sport de performance, la stratégie et le management des hommes. L'autre ne me fait pas peur, la différence m'attire. Je suis curieux et j'aime me rendre compte par moi même comment vivent les gens ce qui m'amène à profiter de toutes les occasions pour voyager. Ses études Établissement public Jussieu (DEUG Sciences de la Matière) : 1984 à 1987 Université Aix Marseille 1 (Licence et maîtrise de Physique Chimie) : 1988 à 1990 Université Aix Marseille 3 (Maîtrise Sport et Management) : 1995 à 1997 ESSEC Paris La Défense (Master Marketing Management) : 2004 à 2005 Son parcours professionnel Ingénieur surveillance Forage (Geoservice) Directeur Office du Tourisme (La Roque d'Anthéron) Directeur marketing (Lille OSC) Directeur (Millenium) Coordinateur général (Stade Français Rugby) Directeur des opérations (Lille OSC) : 2000 à 2002 Directeur général (Colomiers rugby) : 2002-2003 Directeur du développement (Lille OSC) : 2004 à juin 2009 Directeur général Association (Lille OSC) : juin 2004 à juin 2015 Directeur général adjoint administratif et sportif (Lille OSC) : 2009 à juin 2015 Exploitation d'un golf 18 trous en Floride (2015 à fin 2017) DGS de l'ASSE (9 janvier 2018-31 août 2019) DGS Aix en Provence Rugby (20 janvier 2020-) |
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L'avis
de 2 anciens dirigeants du LOSC Deux anciens dirigeants du LOSC encensent le DG de l'ASSE Frédéric Paquet dans la dernière édition (17 février 2019) du Parisien. Luc Dayan (ex-président) : "C’est quelqu’un de droit, de fidèle, d’honnête et de bosseur, énumère Luc Dayan, l’ancien président de Lille. Je pense que l’expérience acquise au Losc l’a énormément aidé à appréhender ce qu’il avait à faire à SaintEtienne. Fred a les épaules. Vu le fonctionnement de Saint-Etienne, c’était indispensable. Son arrivée a coïncidé avec un bon parcours à tout point de vue. On a toujours pensé lui et moi que ce qui se déroule sur le terrain, c’est le reflet de ce qu’il se passe dans l’environnement. Si l’environnement est bien structuré, normalement, ça fonctionne bien." François Vitali (ex-directeur de la cellule de recrutement) : "Il aime diriger, manager des projets et les développer. Il pousse les gens à être meilleurs. C’est quelqu’un d’exigeant, de pas toujours facile. Il peut être autoritaire, dur, conflictuel. Ce serait mentir que de dire le contraire. Mais il est organisé et structuré. Je suis persuadé que, si le LOSC a été champion de France, c’est parce qu’il a donné les moyens à tout le monde. Il a pris des risques, c’est vrai, mais pour gagner il faut aussi en prendre." |
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DIRECTEUR FINANCIER et ADMINISTRATIF ( ) François-Xavier LUCE | |
DIRECTEUR COMMERCIAL (2005 - ) Nicolas JACQ | |
Son
parcours : 1991-1993 : IUT de Quimper 1993-1996 : Université du Maine, IUP du Mans : master en management de l'entreprise 1996-1997 : Audencia (Ecole Supérieure de Commerce) Nantes : Mastère des organisations de Sport 1997-2000 : Responsable marketing au Havre Athletic Club (développement commercial et merchandising) 2000-2005 : Olympique Lyonnais : développement commercial, du Club Prestige, de la politique événementielle, merchandising des ventes hors comptoir (Business to Business) Nicolas Jacq arrive à l'ASSE en 2005 |
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DIRECTEUR ORGANISATION - STADIUM MANAGER (JUILLET 2013 - ) Samuel RUSTEM | |
Son
parcours :Formation 1998-2001 : Lycée des 3 sources à Bourg les Valence 2001-2002 : 1ère année DEUG STAPS, Université Joseph Fourier Grenoble 1 2002-2004 : Lycée Barthélémy de Laffemas à Valence : BTS commerce et force de vente 2005-2007 : IDRAC Lyon : Ecole Supérieure de commerce : Master marketing et gestion des entreprises 2012-2014 : EM Lyon Business School : École de management et commerce 2014-2016 : Centre Droit et Économie du Sport (Limoges) |
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Son
parcours :Expérience |
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DIRECTEUR DU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL ET MARKETING (Septembre 2015- ) Matthieu MALKANI-GIRAUD | |
Matthieu Malkani-Giraud a été
formé à l'Ecole Française des Attachés de Presse (EFAP) et a
travaillé de 1990 à 1999 comme Directeur de la Communication, du
Sponsoring et du Mécénat dans la société JET Services. |
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RESPONSABLE DU MARKETING ET DU DÉVELOPPEMENT (Septembre 2011-janvier 2017) Nicolas VERNEY-CARRON | |
Âgé de 45 ans (en 2011), Nicolas
Verney-Carron a intégré en septembre 2011 l'organigramme de l'A.S.
Saint-Étienne. Neveu de l'actuel dirigeant du fabricant d'armes stéphanois,
il a démarré sa carrière dans le textile avant de passer 21 ans dans
l'automobile. Précédemment directeur de la concession stéphanoise
Volvo, Land Rover, Jaguar et Suzuki du groupe Félix Faure, Nicolas
Verney-Carron cherchait à intégrer le club stéphanois depuis deux
ans. «À l'époque, on m'avait dit qu'il n'y avait pas de places, mais
que si les choses évoluaient... Et puis, le président Romeyer m'a
appelé en fin d'année 2010». Nommé responsable du marketing et développement
de l'ASSE, Nicolas Verney-Carron devrait à terme prendre la direction
du marketing et de la communication. Un poste occupé pour l'instant par
Éric Fages, en démêlés juridiques avec sa direction. Chargé
notamment des produits dérivés, Nicolas Verney-Carron s'est fixé pour
mission de remettre de l'ordre avec les contrats de licences. «Il y a
eu trop de dérives. On a laissé les licenciés appliquer des tarifs
de ministre. Résultat, un mug ASSE coûte aujourd'hui 12 euros à la
boutique. Le même chez les Girondins de Bordeaux, c'est 5,99€». Désireux
de reprendre la main sur la gestion d'un certain nombre de produits dérivés,
il a suivi également attentivement le dossier de la rénovation du
stade. «Cela doit être un levier de développement et de business à
condition de se doter d'un outil CRM performant. On y travaille et on
l'espère pour 2013», conclut-il. |
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RESPONSABLE DU MARKETING ET DU DÉVELOPPEMENT (Septembre 2019-) Bertrand VICAINNE | |
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Ce diplomé de l'Université de Lille et de l'ESC Amiens, qui a travaillé 6 ans à la FFF comme "Ticketing Manager", bossait depuis près de 10 ans à l'Automobile Club de l'Ouest selon son compte LinkedIn. |
DIRECTEUR DE LA COMMUNICATION ET DES MEDIAS (juillet-décembre 2011) Philippe LYONNET | |
Philippe
Lyonnet est une très vieille connaissance stéphanoise. Parce qu'il
apportait des résultats de tennis de table au quotidien "Le Progrès",
il en était devenu correspondant sportif en 1984. Formé donc au sein
de la rédaction sportive du Progrès, il a depuis fait sa route,
nageant vers d'autres eaux que celles de la Loire. Il a travaillé à
l'Union de Reims à Châlons, au Dauphiné Libéré puis à Paris
Normandie à Rouen où il a eu l'occasion de croiser Laurent Roussey,
alors entraîneur. Entré ensuite au journal l'Équipe, il y a suivi l'athlétisme avant d'intégrer en février 2007 la rubrique football comme rédacteur en chef adjoint. |
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En juin 2007, s'il a choisi de changer
d'orientation, le club ne lui est pas étranger et pas seulement parce
qu'il est très proche d'Étienne Mendy. Il avait en effet réalisé un
dossier sur les Verts d'Antonetti et Villanova dans l'Équipe magazine
il y a quelques années. Bernard Caïazzo et Roland Romeyer s'en sont
certainement souvenus puisque ce sont eux qui ont demandé à Roussey de
le rencontrer. Ce poste de coordinateur sportif évolua vers celui de responsable des médias (télé,
internet, magazine) du club. Le 10 novembre 2008, il est démis de ses fonctions en même temps que Laurent Roussey. Bernard Caiazzo, leur reprocha notamment d'avoir créé, à l'Etrat, le centre d'entraînement de l'ASSE, une sorte d'Etat dans l'Etat. En mars 2010, Philippe Lyonnet se retrouve à Créteil-Lusitanos, formation du championnat de France du National à la lutte pour l’accession en Ligue 2, et club où a travaillé… Laurent Roussey. Il donne également des cours à l'Ecole de communication ouverte par Pape Diouf, participe au développement d'un diplôme universitaire nommé "management d'une carrière sportive professionnelle. Il revient ensuite à l'ASSE en 2011 comme responsable du service de la communication. En savoir plus sur Philippe Lyonnet et la Communication de l'ASSE
Philippe Lyonnet vu par le site Poteaux Carrés
: |
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ATTACHE DE PRESSE RATTACHE A PHILIPPE LYONNET (octobre 2014 - ) Nicolas PARENT | |
Responsable pendant trois ans de la com’ de l’US Boulogne, Nicolas Parent a rebondi dans l’un des clubs les plus populaires de l’Hexagone : l’AS Saint-Étienne. Un retour aux sources pour ce passionné de foot.Né en région parisienne, passionné de foot, Nicolas Parent a laissé un bon souvenir à celles et ceux qui avaient recours à ses services pour parler de l’US Boulogne. Personnage affable, sans cesse en mouvement, ce qui lui valut le surnom de Zébulon, « Nico » a donné des cours après son départ de l’USBCO. Et depuis cette saison, il a donc retrouvé un job dans sa partie, la communication. Un job dans l’univers des Verts. C’est pas rien... |
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Nicolas, comment avez-vous atterri dans le Forez ? Est-ce facile de bosser dans un club aussi prestigieux ? Et bosser avec Christophe Galtier, c’est compliqué ? Et l’adaptation dans le Forez ? Avez-vous encore des contacts avec Boulogne ? |